Séminaires de mars 2022 des membres de la FEP

  • Jean-Jacques Tyszler

Jeudi 24 mars à 11 h
178 rue de Vaugirard
Paris 75015

Séminaires du CMPP de la MGEN
Bion / Lacan : quelle psychanalyse en partage ?
avec Marie José Durieux, Daphné Cohen et Jean-Jacques Tyszler

Vendredi 25 mars à 14 h

Séminaire du Réel des Lieux et des Terrains

sous la responsabilité d’Ilaria Pirone
avec Aicha Fischer, Carolina Porto et Jean-Jacques Tyszler.

Suite de la journée d’étude sur l’exil au Musée de l’immigration de la Porte Dorée.
Sur inscription uniquement : jtyszler@mgen.fr

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  • Michel Leverrier

Mercredi 2 mars à 20 h 45
Caen

Encore…encore !

Merci à Marielle Stinès pour le travail qu’elle nous a déjà préparé. Si on pouvait, d’ici là échanger quelques idées et réflexions par mail, comme on a pu le faire auparavant, cela nous aiderait à passer ces moments d’attente. Et pourrait maintenir notre intérêt et notre lien. En espérant que cela va s’améliorer sur le plan sanitaire. A bientôt

Bien amicalement.
Michel Leverrier

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  • Gorana Bulat-Manenti / Paris

Mardi 15 mars à 21 h
sur ZOOM

La psychanalyse fait peur à ceux qui rêvent de perversion et de pouvoir. Ils l’évitent et la rejettent comme une insupportable vérité qui pourrait révéler les motivations secrètes et pas si honorables de leur volonté d’ascension aux sommets de la gouvernance : des pays, des institutions, de la pyramide sociale. Le travail sur le fantasme fondamental « on bat un enfant » découvert par Freud, correctement mené, met en péril le projet, la jouissance d’abuser, de violenter son prochain plus fragile, plus faible. Le but d’une analyse est de démasquer les lieux communs des mensonges névrotiques et pervers, qui passent allègrement pour la « normalité ». Son objectif est de démonter les impostures insinuées dans l’inconscient, l’avidité de nos volontés de pouvoir remplies par ces pensées tordues que le conscient ignore.
Si nos patients viennent c’est pour désenfler leur existence du poids des déterminismes familiaux et sociaux qui les écrasent et risquent à leur tour d’écraser les autres. Car, sous le masque d’une modernité flamboyante et attirante se cachent des positions nocives, rétrogrades, appartenant aux méfaits venant du passé qui s’infiltrent encore et toujours dans nos vies sous mille différents déguisements, plutôt de biais, en catimini. Ainsi malgré la découverte de la psychanalyse, le monde actuel cède volontiers aux sirènes qui, pour soigner les psychismes fracturés, chantent les bienfaits des recettes faciles, pseudo scientifiques et réductrices, guidées par l’impatience de résultats rapides en évitant l’effort d’une réflexion complexe, plus approfondie. Avec ces méthodes les éléments essentiels de la vie humaine passent à travers les trous du filet. Les schémas et les modes d’emplois nous attirent parce qu’ils recouvrent grossièrement la part douloureuse de notre humanité que secrètement nous ne voulons pas connaitre, quitte à en mourir. Le désir incestueux mène la danse, sans vergogne, sans pudeur jusqu’au cœur de la vie sociale !
La psychanalyse permet l’accès à ce côté obscur, refoulé, ignoré, elle permet d’en prendre conscience.
Ainsi lorsqu’elle fonctionne, elle nettoie le lien social des haines et des violences à venir. Or d’aucuns préfèrent penser que  » la psychanalyse  » se doit de rester neutre, ce qui ne peut contribuer qu’à conserver les violences en place. C’est évident, les bénéfices que la psychanalyse apporte à la
civilisation n’ont d’égal que dans les résistances qu’elle engendre pour ceux dont la soif malsaine de pouvoir ne supporte pas la parole libérée. Les résistances à la psychanalyse se trouvent aussi, (c’est un grand secret très bien gardé) dans les associations analytiques ou un gavage de passages
théoriques galvaudés hors contexte, remplace une réflexion authentique basée sur la clinique, ou le Discours du Maitre arrogant et prétentieux usurpe la place du Discours analytique, humble et proche du sujet.
Quels sont nos étonnements des cures d’aujourd’hui dans un monde en effervescence et quels en sont les questionnements inédits ? Que se passe-t-il sur nos divans envahis par le brouillard d’une pandémie mortifère ? Cet isolement des individus imposé de l’extérieur retentit-il sur notre orientation de la cure et de quelle manière ? Quelles actions s’imposent à nous dans une période de vie politique intense pour que notre discipline ne glisse pas dans l’oubli devant les manœuvres douteuses des luttes pour la puissance d’oppression ?
En s’appuyant sur les travaux de Françoise Dolto et ses recherches sur la sexualité féminine nous essaierons d’avancer, hors cadres rigides et étouffants, en puisant la fraicheur dans l’actualité de notre clinique.
gorana.manenti@icloud.com

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  • Luminitza Claudepierre Tigirlas / Montpellier

Association Lacanienne Internationale Languedoc-Roussillon/ Fondation Européenne pour la Psychanalyse (FEP)

12 mars, de 9 h 30 à 12 h
Au local de Via Voltaire,
1 rue Voltaire, 34000 Montpellier
Tram 2 : Arrêt Comédie

Désir matricide (et/ou infanticide) et parfois tentative d’écriture d’une « métaphore maternelle » « vérité et acte du sujet dit psychotique »
Ensuite, mon interlocuteur privilégié sera Gérard Pommier, professeur des Universités émérite de psychopathologie, psychanalyste et écrivain, à partir de son livre :
Gérard POMMIER,
La poésie brûle,
Galilée, 2020.
La discussion portera notamment sur les chapitres :
« La main tendue de Celan », « Khlebnikov : Tu seras ! », « Artaud : Du « Père étrange à la renaissance des cendres », « Joyce glossographmann »…
Entrée libre.

S’inscrire auprès de
Luminitza C. Tigirlas : luminitza.tigirlas@gmail.com  ou au 06 20 36 74 71.
Séance publique ouverte à toutes les personnes intéressées par le sujet.

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  • Annick Galbiati et Jean-Pierre Basclet / Paris

Les 12 mars, 9 avril, 14 mai et 11 juin 2022
Le 2e samedi du mois de 10 h 30 à 12 h 30
Cercle Freudien, 10 Passage Montbrun,
Paris 75014

Réel du corps et pratique clinique

Ce séminaire est ouvert à des praticiens exerçant en libéral ou dans des services hospitaliers et institutions pour adultes ou pour enfants.
Chacun peut y présenter les problèmes rencontrés auprès de patients chez qui la place prise par le réel du corps occupe “le devant de la scène”. Ceci en relation souvent avec un discours dont les effets s’avèrent d’autant plus prégnants qu’ils interviennent à l’insu de celui qui en pâtit.
Constituer une adresse permettant au patient de s’approprier ce discours auquel malgré lui il a affaire requiert parfois une inventivité, des aménagements et “bricolages” méritant d’être partagés et discutés. Ceci en passant par une écoute qui n’exclut pas l’élaboration théorique.

Pour s’inscrire après entretien préalable, prendre contact avec :
Annick Galbiati : 01 43 35 37 66 ou Jean-Pierre Basclet
jpbascl@wanadoo.fr

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  • Hélène Godefroy / Paris

Mercredi 9 mars à 21 h
ENS – Salle Beckett

45 rue d’Ulm Paris 75005
 et par ZOOM

Les séances d’introduction à la psychanalyse de l’Actuel de la psychanalyse
enseignement@psychanalyseactuelle.com

Plus d’informations : https://www.psychanalyseactuelle.com/enseignement/programme

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  • Gricelda Sarmiento / Paris Sarmiento

Jeudi 24 mars 2022 à 12 h
Par ZOOM

Association lacanienne Internationale / Fondation Européenne pour la Psychanalyse

L’Angoisse

Nous abordons les leçons 10 et 11 du séminaire de Lacan. Après des efforts extraordinaires pour nous faire saisir ce qu’est que l’objet « a » et par quel biais on peut l’aborder, nous parvenons à la fonction du manque, du trou dans l’angoisse.
Le phénomène du manque, dit-il, est le fondement de toute construction logique.
Pour soutenir son discours, Lacan revient à l’apologue du livre manquant dans une bibliothèque, en le modifiant. Nous voyons là que la fonction du trou ou de l’absence n’est pas univoque.
Lacan expose dans ces leçons :
— la topologie du cross-cap et du huit intérieur pour aborder l’irréductible du manque
— l’emploi du terme de contra-transfert dans les pratiques des psychanalystes de langue anglaise telles que Margaret Little, Lucia Tower, Barbara Low.
— la fonction du désir dans l’amour.
Nous vous attendons le 24 mars pour une fiction qui tient lieu de vérité dans la pensée de Lacan.
gricelda.sarmiento6@gmail.com  06 13 52 57 03

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  • Association L’@psychanalyse / Montpellier

Samedi 26 mars
Psychasoc,
3 rue Urbain V
Montpellier
Code : 4238

Création et psychanalyse
Interventions de :
* Geneviève Dindart, Quatuor in situ.
* Luminitza Claudepierre Tigirlas, Greffer de l’ouvert.
* Nicole Lamoureux, Mon corps, ce poème !

ATTENTION : les places étant limitées, mieux vaut s’inscrire avant en envoyant un mail à :
apsychanalyse@gmail.com

Le site de l’association : http://www.apsychanalyse.org

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  • Association L’@psychanalyse / Montpellier

Hélène Godefroy et Orsola Barberis / Paris

Espace analytique
Jeudi 24 mars à 21 h
Uniquement sur ZOOM

Les psychoses
Pour obtenir le lien écrire à
helene-godefroy@orange.fr

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  • Marcelo Edwards / Barcelone

11 de enero 2022
fechas : martes cada
15 dias de 9 :30 a 11 :00 hs
Informacion : 686-34019

Intervenciones en las psicosis

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  • Claire Gillie / Paris

Jeudi 10 mars 20 h 45
Espace analytique

Par ZOOM

Tmèse, Aposiopèse : L’art de se taire

Écrire à gillie.claire@gmail.com pour recevoir les identifiants

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  • Groupe Clinique CRIVA / Paris

Mardi 15 mars 20 h 30

Performativité de la voix : La légende du Golem
autour de Dominique Bertrand
Inscriptions sur le site CRIVA https://criva.fr

Mardi 22 Mars 20 h 30 – 22 h 30

https://us02web.zoom.us/j/88344497043pwd=WVhoS2RMWkJZc1dqeS9BR1dNS-DBnZz09

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  • Umbral / Barcelone

Lunes 21 de marzo 19:30 (hora de Barcelona)
plataforma ZOOM

Seminario coordinado por Graziella Baravalle y Laura Kait,
La psychanalyse et ses psychanalystes
Seminario El Psicoanálisis y sus psicoanalistas.

Presentación teórica a cargo de Laura Kait y presentación clínica a cargo de Matilde Mayor

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  • Patrick de Neuter / Bruxelles

Le premier jeudi du mois
de 20 h 15 à 22 h 15
Alternativement à Etterbeek
et à Forest

Abord clinique du corps des femmes

Responsables : Patrick De Neuter, Brigitte De Vriendt et Isabel Glorieux

Nous inspirant des exposés des lundis de Bruxelles, nous évoquerons la place du corps des femmes dans nos cliniques et cela aux différents âges de la vie et dans ses trois dimensions : les corps réels, imaginaires et symboliques. Dans la foulée de la thèse de Chaboudez nous aborderons les rapports du corps et du langage dans leur réciprocité. Et en nous référant au livre de Pierre-Laurent Assoun « Corps et symptôme » (2015) nous envisagerons le corps dans les diverses structures. Comme toile de fond, nous aurons les références de Lacan concernant le corps rassemblées par Louis de la Robertie in « Le corps, textes de Jacques Lacan ». Ainsi avec lui, on pourra distinguer le corps comme image, comme signifiant, comme lalangue, comme réel ; Le corps et ses organes, ses zones érogènes et ses éclats ; Le corps érotique et celui qui est désexualisé. Le corps souffrant et le corps jouissant. Le corps grandissant et celui qui décline. Le corps propre (l’ego) et celui de l’autre. Cette année, participant comme l’an dernier aux conférences des lundis de Bruxelles, nous aborderons plus particulièrement le corps des femmes aux différents âges de la vie. Après une introduction sur leur plaisir effacé (C. Malabou), nous aborderons leurs symptômes sexuels, (absence de désir, anorgasmie, dysménorrhée) (P. De Neuter), leur tendance à l’obésité (C. Grangeard), leur envie du pénis et celle du phallus (D. Lestarquy), leur sexualité après l’inceste (D. Bastien).. Par ailleurs, cet atelier sera aussi l’occasion de mettre les élaborations théoriques à l’épreuve de cas cliniques publiés ou issus de nos pratiques.

INSCRIPTION : chez Patrick De Neuter – patrick.deneuter@yahoo.fr
Brigitte De Vriendt – brigittedevriendt@icloud.com  ou Isabel Glorieux iglorieux@msn.com

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